Appel à la mobilisation mondiale pour la libération immédiate de deux femmes journalistes Floriane IRANGABIYE et Sandra MUHOZA

À l’occasion de la Journée mondiale de la liberté de la presse, dix- neuf organisations de la société civile burundaise élèvent leurs voix pour dénoncer la persécution continue des 2 journalistes et la violation éhontée de la liberté de la presse. Elles demandent surtout :

Au Gouvernement du Burundi de :

  • Libérer immédiatement et sans conditions les journalistes Floriane IRANGABIYE et Sandra MUHOZA emprisonnées pour des accusations fallacieuses et sans preuves juridiques ou autre.
  • Procéder sans délai à l’ouverture d’une enquête indépendante et transparente sur la disparition forcée du journaliste Jean BIGIRIMANA et sur l’assassinat de la famille du journaliste Christophe NKEZABAHIZI afin de dévoiler la vérité sur ce qui s’est passé et d’engager des poursuites judiciaires contre les auteurs présumés.
  • Cesser la censure et la répression des médias, et abolir toutes les lois et mesures qui entravent la liberté de presse.
  • Restaurer l’indépendance et l’intégrité du Conseil National de la Communication pour qu’il puisse réellement s’acquitter de sa mission et défendre la liberté de presse d’une façon professionnelle.
  • Réhabiliter et dédommager la Radio Publique Africaine (RPA) et la Radiotélévision Renaissance.

Aux partenaires du Burundi de :

Exiger des autorités burundaises des progrès tangibles et vérifiables en matière de liberté de la presse, incluant la libération des journalistes Floriane IRANGABIYE et Sandra MUHOZA et la réouverture des médias indépendants fermés.

Lire l’intégralité de l’appel ici….Appel à la mobilisation mondiale

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